18 mars 2007
Perennial Leila
Le jour où tu t'es éloigné, j'ai senti que ma conscience se dévissait, se scindait en deux.
Tu n'as pas idée de l'héritage que tu m'as laissé, toutes ces choses, bien trop dures à contrôler.
Mais la torture ne me fera pas céder, c'est une lutte, une lutte de chaque instant.
A présent, je dois retourner dans les bras de mon créateur, pour me sentir éveillé le reste du temps.
Pourtant, je ferme les yeux, en espérant que le soleil illuminera ma journée encore une fois.
Tu ne devais pas m'aimer à tout moment, ... tu n'auras plus besoin de prêcher tout le temps...
Je chuchote ces quelques mots en espérant qu'ils te parviendront, quelque part dans l'immense ailleurs...
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